Au Théâtre de l'Atelier, Johanny Bert propose une version onirique de Juste la fin du monde de Jean-Luc Lagarce avec une belle distribution, notamment Vincent Dedienne.

Dans Lacrima à l'Odéon, Caroline Guiela Nguyen offre une réflexion profonde sur le savoir-faire artisanal et les histoires intimes qui se tissent derrière chaque création d'exception.

Le collectif Bajour aborde dans l'Eclipse les tourments de l'adolescence et la force du souvenir. Une saga juste et sensible, drôle et inquiétante aussi, dans une mise en scène fluide et captivante.

Au Théâtre Gérard Philipe, Eric Charon adapte deux romans d'Emile Zola dans "Les Chroniques", une pièce fluide et inventive qui fait sentir sur le vif l'inéluctable déchéance humaine.

Au Théâtre de l'Atelier, Sandrine Bonnaire est bouleversante en Amante anglaise au jeu sobre et subtil. La scénographie minimaliste rend le texte de Marguerite Duras encore plus puissant.

À la Comédie-Française, Le Suicidé de Nicolaï Erdmann est une farce hilarante qui interroge le sens de la vie.

Au Théâtre de la Porte Saint-Martin, Isabelle Carré incarne une Serva amorosa fidèle, honnête et diablement déterminée ! Une comédia savoureuse et incisive, à la manière de Goldoni.

Au Théâtre Marigny, lorsque l'enfant paraît est une comédie satirique brillante et bien menée. Quand les délices de l'amour et les grossesses involontaires font exploser les carcans puritains...

À La Scala, Le Mage du Kremlin est l'adaptation du roman de Giuliano da Empoli qui explore les coulisses du pouvoir russe et les intrigues qui ont façonné l'ascension de Poutine à travers le regard d'un homme de l'ombre.

Que s'est-il passé il y a des années lors de cette nuit où le jeune et beau Laurier Gaudreault s'est réveillé ? Au Théâtre Tristan Bernard, un thriller captivant et non dénué d'humour.